Les "médias sociaux" tels que nous les connaissons font partie de nos vies, à divers degrés, depuis bientôt 2 décennies (Facebook, par exemple, ayant été fondé en 2004).
Il y a eu des avantages à ces médias sociaux pour amplifier les messages bienveillants mais ça a également eu pour effet d'ouvrir la voie pour les propagandes sombres, déguisées en "crise pandémique mondiale", en "crise climatique", en "genou par terre pour se soumettre à BLM" et en tant d'autres pièges intentionnellement manufacturés pour tester l'esprit critique de ceux qui réfléchissent et livrer une idée toute-faite à ceux qui sous-traitent leur opinion personnelle à des étrangers, du moment que ceux-ci démontrent une autorité, à leurs yeux.
Autrement dit, comme en presque toute autre chose, les médias sociaux reflètent nos potentiels, individuels et collectifs.
Certains s'en servent pour le bien et d'autres, non.
C'est donc une sorte de réflexion sociale qui s'engage quand on se analyse la signification des médias sociaux, dans nos vies et dans la vie, en général.
Au cours des dernières années, on a vu l'imposition des censures, des shadow bans et des blocages, purs et simples, tout ça dans un proverbial océan de "spam", d'arnaques en tout genre, des faux profils, des narratifs militarisés et d'amplifications des propagandes d'État, sous une forme ou une autre, comme avec l'agenda 2030 du "développement durable" de l'ONU, repris en choeur par les gouvernants mondialistes, dans les pays qu'ils sont censés, en théorie, représenter.
Ainsi, il me semble plus important que jamais de réfléchir au poids des likes.
Qu'est-ce que ça implique, au fond, pour vous, de vivre avec les médias sociaux?
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