Trouver quelque chose d'alternatif dans Google est devenu bien plus difficile avec toute la censure systémique qui s'y pratique.
Et parfois, les sources alternatives ne sont encore trouvables que si on inscrit très précisément le nom mais il arrive aussi que même si le site web d'origine est encore actif, que Google refuse intentionnellement de le laisser paraître dans ses résultats de recherche.
Naturellement, les narratifs qui ne contredisent pas ceux des mondialistes sont non-seulement relayés mais presque toujours amplifiés.
C'est une guerre de l'information que les géants de la Silicon Valley nous livrent.
Mais qui s'en rend compte, pas vrai?
Au fond, il n'y a que nous que ça indispose parce que les amoureux des "grands médias" sont fous de joie d'avoir 10 pages de résultats qui présentent uniquement "un côté de la médaille".
Inscrivez à peu près n'importe quel mot devenu à toute fin utile interdit dans Prisonbook, comme v---in, cl---t ou ivermec---e et vous verrez à quel point notre narratif a disparu.
Allez-y, faites le test:
https://www.google.com/search?q=coronavirus
Y a-t-il un seul regard critique sur le thème?
Non.
Et c'est exactement ça, le problème qui nait de la censure systémique de Google (et de plusieurs autres outils, en ligne et dans la vie, en général).
Ce n'est pas mieux dans les bibliothèques municipales où les MILLIERS de livres qui offrent une interprétation alternative de la crise-COVID ne sont apparemment jamais achetés (ou en tout cas, je n'en ai jamais vu un seul).
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